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Israël, l’ONU et Amsterdam, les deux évènements de la semaine

Chiffres de l’ONU :

Selon les sources officielles de l’ONU, corroborées par des institutions crédibles et des ONG sur place, 70% des tués par l’armée israélienne à Gaza sont des femmes et des enfants, soit 30.800 tués sur les 44.000 palestiniens morts à ce jour.

En nous référant à l’objectif initial de NETANYAHOU d’éradiquer le Hamas et ramener les otages israéliens à la maison, nous sommes visiblement loin du compte, car il avait probablement d’autres objectifs inavoués :

En tuant 30.800 femmes et enfants, c’est en quelque sorte un objectif à double sens :

  • Tuer des femmes palestiniennes les empêcherait de procréer et accroitre la population palestinienne
  • Tuer les enfants, car jugés comme de futurs combattants du Hamas.

Finalement, qu’en est-il de son objectif initial claironné comme un leitmotiv :

  • L’éradication du Hamas, peu probable et pour cause : sur les 13.200 hommes tués par Tsahal, la moitié d’entre eux ne sont pas forcément des combattants du Hamas, il ne reste donc plus 6.600 combattants du Hamas tués sur un effectif estimé entre 30.000 et 40.000 combattants.
  • Quant aux otages, 66 d’entre eux ont été tués, sacrifiés dans les bombardements sur Gaza par leur propre armée et 97 otages sont encore entre les mains du Hamas ; on ignore s’ils sont encore tous en vie.

Evènement d’AMSTERDAM :

Les supporters israéliens criaient en chœur « Laissez Israël ‘ tuer ‘ les arabes » !, d’autres supporters arrachaient le drapeau palestinien arboré par les propalestiniens et enfin la minute de silence observée dans le stade en hommage aux morts des inondations en Espagne a été sifflée par les supporters israéliens au prétexte que le gouvernement espagnol a reconnu l’Etat de Palestine.

S’en est suivie une bagarre en réplique à ces provocations.

Plusieurs politiciens et médias se saisissent de cet évènement en le qualifiant d’un acte antisémite voire même d’un pogrom pour certains.

Eu égard aux évènements qui ont précédés, le bon sens voudrait qu’on ne puisse pas qualifier cela que de l’antisémitisme.

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Israël et Palestine Politique, Démocratie, Droits de l"Homme Religions

Controverse de la terre promise et la descendance d’Abraham

J’ai demandé à un rabbin et un imam « new âge » (3) de m’expliquer la controverse de la terre promise et des héritiers du patriarche ABRAHAM, voici ce qu’il en résulte :

Au commencement, dans le conflit Israël Palestinien actuel, on trouve déjà plusieurs controverses dans la Torah (Bible hébraïque), tant sur la légitimité de la descendance du patriarche Abraham que sur la notion même de la terre promise.

En premier lieu, Abraham a eu deux fils, Ismaël et Isaac :

ISMAËL, le premier fils d’Abraham, a été engendré avec sa servante égyptienne Agar, avec l’accord de son épouse Sarah stérile.

ISAAC, le second fils d’Abraham a été engendré avec Sarah, son épouse légitime par un miracle divin. Le nom d’Isaac signifie en araméen « Rire », la tradition dit que lorsque Sarah a appris qu’elle était enceinte par la volonté divine, s’était mise à rire en évoquant l’impossibilité d’un tel état étant donné son âge et celui de son époux Abraham.

ISMAËL engendrera la lignée des Palestiniens (arabes).

ISAAC, engendrera la lignée des juifs.

Ismaël et Isaac, de par leur paternité, sont à l’origine des deux peuples sémites de la descendance de SEM par leur père, jusque-là pas d’équivoque.

La « terre promise », située dans le pays de Canaan (1) est la terre ou Abraham, originaire de la ville de Ur en Irak, a émigré.

La Torah (Bible hébraïque) dit que cette terre a été donnée par Dieu à Abraham et sa descendance (Genèse 15 :18 -21 ;17 :8) et c’est précisément à partir de ce moment que vont dévier les interprétations :

Abraham bénit ses deux enfants Ismaël et Isaac ainsi que leur descendance et leur promet qu’ils seront deux grandes nations bénies à leur tour par son seigneur.

C’est alors qu’intervient une jonglerie religieuse pour dire, finalement, que Sarah, la femme d’Abraham, avait précisément expulsé Ismaël et sa mère Agar dans le désert, pour faire de son fils Isaac le seul et unique héritier d’Abraham, alors qu’à cette époque, la notion d’enfants légitimes et illégitimes n’existait pas, seule la paternité du père était légitime quelle que soit la mère génitrice. ; Ce sera le cas pour les descendants de Jacob, baptisé plus tard du nom d’Israël, puisque les douze tribus d’Israël seront issues de deux femmes et de deux servantes (2).

C’est à ce stade qu’Ismaël, le premier fils d’Abraham sera écarté de l’héritage de son père, sa descendance subira le même sort, Abraham deviendra donc le patriarche des Hébreux, son fils Isaac et sa descendance seront les seuls héritiers d’Abraham.

Ce qui revient à dire autrement, que le patriarche Abraham, réputé être juste et adorateur de dieu, n’est qu’un goujat à l’encontre de son fils Ismaël et sa descendance.

Notons cependant, que la Torah juive, la Bible chrétienne et le Coran de l’Islam que nous connaissons aujourd’hui, ont été tous les trois modifiés, au gré des temps jusqu’au IX siècles, voire jusqu’au XII siècle pour la Torah avec l’apport de Moïse Maïmonide, rabbin de Cordoue, ou encore les équivoques historiques relevées par Henri ATLAN (4), d’origine juive, Professeur et historien ou Shlomo SAND (5), également juif, son contradicteur.

S’ajoutent à cela les probables modifications intentionnelles ou liées à la traduction en grec.

Tout compte fait, si l’on se base sur la notion d’appartenance de la « terre promise », pour peu qu’elle puisse faire force de loi divine en ce XXIe siècle ! On serait tenté de dire qu’elle est la copropriété des héritiers d’Isaac et d’Ismaël, donc, à la fois aux juifs et aux Palestiniens.

Cependant, le religieux et le droit contemporain ne font pas bon ménage de nos jours, pour cela, il faudrait plutôt se référer aux résolutions de l’ONU et du Conseil de Sécurité, délimitant pour chacun des belligérants, sa part de cette terre promise pour vivre en paix et cesser ainsi les tragédies macabres de deux peuples.

 Ironie du sort, le nom de Canaan est celui du petit-fils de Noé qui « a été maudit pour avoir révélé la nudité de son grand-père Noé », comme si, au regard de la situation actuelle dans cette région, la malédiction continue à sévir.

  • Jacob épousa les deux filles de Laban, (frère de Rebecca femme d’Isaac) Léa et Rachel, comme les deux femmes avaient parfois du mal à avoir des enfants, comme l’usage d’Abraham et Sarah, ce seront leurs servantes Zilpa et Bilha qui enfanteront, l’une les deux fils Dan et Nephtali par Bilha et les deux autres fils Gad et Aser par Zilpa qui compléteront ainsi les douze tribus d’Israël. Ainsi si l’on se réfère à l’illégitimité d’Ismaël selon Sarah, quatre tribus juives le seront aussi (tribus de Dan, Nephtali, Gad et Aser).
  • Le rabbin et l’imam, ont chacun prêché pour leur paroisse en relevant quelquefois des controverses d’interprétations entre les deux religions, mais pour l’essentiel et avec quelques nuances près, ils acceptèrent ce compromis.
  • Le professeur Henri ATLAN met en lumière le long processus historique qui conduit le peuple juif, à l’origine défini par une tradition, une mémoire et une législation à devenir au Moyen Âge, une religion au sens strict du terme, avec des principes doctrinaux différents de ceux du christianisme et de l’Islam (conférence de M. Henri Atlan à l’Espace culturel Élie Wiesel le 19 mars 2014).
  • Son livre « Comment le peuple juif fut inventé», Ed. 2008, une étude de la construction nationale israélienne par le mouvement sioniste. Il y défend l’idée que cette construction s’est appuyée sur un récit fondateur mythique, faisant des populations juives un peuple, uni par une même origine et possédant une histoire nationale commune, remontant à la terre d’Israël. Sand nie la réalité de cette origine commune, mettant en avant l’importance des conversions au judaïsme dans la constitution des populations de confession juive. D’autre part, pour lui, jusqu’à l’avènement du sionisme, ces populations ne se définissaient qu’à travers leur appartenance religieuse en commun et ne se percevaient donc pas comme un peuple. Le livre a suscité beaucoup de débats et controverses
    • Extrait du livre « Israël et Palestine, Droit Divin ou Droit Contemporain » par Med Kamel YAHIAOUI

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Israël et Palestine

Israël et Palestine, juste un réflexion

Un célèbre professeur, adepte de l’enivrante pour atténuer les
évènements qui le contredisent, était accoudé surle bord du comptoir dans une brasserie jouxtant l’université où il enseigne.
Après quelques verres désinhibants, il se mit
à pestiférer :
– Terre Israélienne, terre Palestinienne, Israël a le droit de se défendre, les Palestiniens sont des terroristes, le droit international ou le droit divin, que des balivernes !
– Un titre de propriété du Dieu d’Israël sur la terre de Palestine revendiqué au 21e, qui ne semble choqué personne, même pas les juristes.
– Des résolutions de l’ONU d’une solution à deux états acceptée par une
Palestine résignée, rejetée par un Israël colonisateur progressif de
l’intégrité du territoire, encouragé en cela en catimini par les Américains etles Européens.
– Un blanc-seing à Israël de tuer les Palestiniens au nom de la sacro-sainte prérogative du droit d’Israël à se défendre.
– Des morts des deux côtés mais, la valeur macabre n’est pas estimée de
la même manière, l’une est de moindre importance par rapport à l’autre.
– L’agresseur agressé à son tour, l‘impensable offense.
– La messe est dite, circulez, il n’y a rien à REVOIR, on continue comme nous le faisons depuis 75 ans, pas de solution, ni même celle à deux états et attention à celui qui, par sagesse, voudrait que les Palestiniens aient aussi leur état conformément aux résolutions de l’ONU.
– Les dirigeants actuels d’Israël, ne cherchent pas la paix avec les
Palestiniens, mais leur expulsion, à défaut leur soumission

Extrait du livre « Israël et Palestine Droit Divin ou Droit Contemporain » par Med Kamel Yahiaoui

 

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Israël et Palestine, Droit Divin ou Droit contemporain

L’offensive du Hamas palestinien sur Israël du 7 octobre 2023 a été, une des plus grandes tragédies de l’histoire d’Israël post-deuxième guerre mondiale, rien à voir avec les tirs de roquettes artisanales de moindre impact, les lance-pierres des jeunes palestiniens ou les attaques aux couteaux contre l’armée israélienne et les civils des années précédentes.
Au dernier décompte mortuaire on dénombre plus de 1 200 tués (a) parmi des civils adultes, des enfants, des militaires et des policiers israéliens ainsi que 240 otages israéliens et étrangers de différentes nationalités.
(a) Les médias israéliens ont rapporté qu’au 25 octobre 2023, les noms de 914 de ces victimes identifiées avaient été publiés dont 587 civils, 269 soldats et 58 policiers, parmi eux 29 sont des enfants. Sources : Save the Children et l’Ong OCHA (bilan non exhaustif) cité par le journal Libération du 31 octobre 2023.
La réplique de l’armée Israélienne contre l’enclave de Gaza, a été, elle aussi, un drame plus intense que les précédents, 16 500 Palestiniens tués à l’heure actuelle, la plupart des adultes civils et plus de 6 000 enfants de ce macabre calcul, sans compter les privations de leurs moyens élémentaires de subsistance encore plus sévères qu’elles ne l’étaient avant, qui s’ajoutent à leur malheur.
Pire, les pays soutenant inconditionnellement l’un ou l’autre belligérant s’évertuent, non pas à atténuer la crise, mais à l’envenimer, les uns prônent « le droit d’Israël à se défendre et traitent les Palestiniens de terroristes », les autres « les Palestiniens sont des combattants légitimes contre les occupations successives et illégales de leur territoire, pourtant reconnu par l’ONU et le Conseil de Sécurité de l’Onu ».
Droits internationaux de la « solution à deux états où vivront les deux peuples israéliens et palestiniens en paix dans deux territoires déterminés » ou « loi divine de la terre que Dieu a promise aux juifs pour conquérir la Palestine et au-delà », dite notion qui n’est pas forcément partagée par l’ensemble des Juifs d’Israël et d’ailleurs, y compris une partie des juifs orthodoxes supposés être les plus messianiques.
S’ajoutent à cela, des intérêts économiques et géopolitiques qui ne laissent place à un quelconque humanisme et un monde clairement divisé en deux clans, l’un Américains, Européens et alliés, l’autre le reste du monde sous-estimé qui, de plus en plus, affirme également sa prééminence.
Le problème de légitimité du peuple palestinien, a été, au fil des décennies, ouvertement et subrepticement contourné en faveur de l’État Israël en pensant l’enterrer définitivement.
La stratégie du président américain et son beau-fils, inconditionnellement en faveur d’Israël, avaient élaboré le plan des accords d’Abraham avec la complicité des royaumes arabes (Émirats arabes unis, Bahreïn, Maroc) et un Soudan en crise, amadoués par des perspectives économiques et sécuritaires en pensant enterrer définitivement la cause du peuple Palestinien.
Cette stratégie s’est avérée infructueuse et pourtant l’on continue à la prôner au détriment d’une solution franche et définitive de la cause des Palestiniens.
La carte blanche délivrée à Israël par les États Unis, les Occidentaux et leurs alliés, lui permit de coloniser progressivement les terres palestiniennes, tuer des civils palestiniens, détruire leurs habitations, spolier leurs biens et les emprisonner en toute impunité, malgré les multiples résolutions de l’ONU restaient vaines.
Les organisations non gouvernementales ont beau crier haut et fort les entorses répétitives d’Israël aux droits de l’homme, aux droits humains aux droits de la guerre et au droit de vie simplement des Palestiniens, comme si Israël était exempté de ces obligations (3).
Ces voix restent inaudibles dès lors qu’il s’agit d’Israël à l’inverse des autres pays dits du grand sud ou des poursuites et des boycotts seraient décrétés aussitôt.
Même les positions du secrétaire général de l’ONU légalement mandaté, sont restées vaines. Au comble de l’ignominie, les Israéliens ont osé qualifier ses propos « d’attitude antisémite » pour avoir déclaré :
« Profondément inquiet quant aux violations du droit international humain à Gaza. Il rappelle que l’attaque terroriste du Hamas ne venait pas de nulle part, mais de 56 ans d’occupation. Le secrétaire général a répété qu’aucun conflit ne justifiait l’atteinte aux droits humains fondamentaux et aux victimes civiles car « aucune partie à un conflit armé n’est au–dessus du droit humanitaire international ».
Les répétitives déclarations d’une solution à deux états, sans être mise réellement en application depuis plusieurs décennies, les occupations successives et illégales des territoires Palestiniens par des colons Israéliens, encouragés en cela par un chef de gouvernement aux ambitions politiques démesurées, auquel s’allie une extrême droite qui ne cesse d’agiter le drapeau du grand Israël et l’expulsion des Palestiniens de la terre promise, une liste de tués palestiniens, douze fois plus que les tués israéliens (1), qui s’allonge d’année en année, ont certainement amplifié le désespoir du peuple Palestiniens.
C’est probablement une des raisons qui a poussé les Palestiniens à affirmer leur existence par un geste suicidaire aussi ignoble soit-il.
On évoque un mouvement du Hamas en insistant à le qualifier de terroriste et d’islamiste, comme s’il s’agissait d’un thème de campagne médiatique, faisant abstraction des autres mouvements laïcs de différentes tendances (Marxiste, Gauche, Centristes, Baasistes) qui combattent pour la libération de la Palestine et qui ne sont pas des mouvements religieux, ou encore évoquer, à demi-mot, que c’est ce même Premier ministre qui a favorisé l’existence du Hamas pour contrer la solution à deux états (2).
Les Occidentaux se montrent tolérants quant au comportement d’Israël à l’égard du peuple Palestinien comme pour s’excuser de l’holocauste et de l’ostracisme qu’ils ont fait subir aux juifs depuis plus de deux millénaires, mais le reste du monde s’interroge sur cette flagrante injustice et les qualificatifs de terrorisme (4) et d’islamisme d’un peuple Palestinien qui combat pour son indépendance, son territoire et sa survie.
Une large part des peuples juif et palestinien n’aspirent qu’à vivre en paix, leurs politiciens doivent cesser de comptabiliser leur audience et leur maintien au pouvoir sur les corps des cadavres.
Ni la puissance militaire, ni le terrorisme ne résoudront ce conflit, la seule voix sage pour rompre ces tueries et la haine entretenue entre les deux peuples, serait la solution à deux états, comme vainement préconisée par les colombes de la paix, l’Israélien Yitzhak RABIN, assassiné par un extrémiste de la droite israélienne et le Palestinien Yasser ARAFAT, présumé empoisonné par le Mossad.
Extrait du livre « Israël et Palestine Droit Divin ou Droit Contemporain » par Med Kamel Yahiaoui

Lien pour lire la suite de l’extrait :

www.dzbiblio.com/EXTRAIT/palestine/palestine.pdf

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INTERNATIONAL – Palestine

Les prétendues  négociations ne sont que des leurres, en effet il suffit simplement d’appliquer les résolutions de l’ONU en terme de lois et les faire respecter au besoin par les instances qui ont cette charge.

On finira par croire  sans se tromper, que ces relances de pseudo paix par les uns et les autres ne sont que complicité avec Israel pour lui laisser le temps de conquérir tous les territoires palestiniens ou plutôt ce qui en reste.

Par Massine Tacir

 

A la conférence de Paris, fragiles espoirs de relance du processus de paix israélo-palestinien

LE MONDE | | Par Marc Semo

 image: http://s2.lemde.fr/image/2016/06/03/534×0/4933701_6_1d1e_francois-hollande-et-les-participants-a_26ffa9487b86bb66588d06674b4441fa.jpg
François Hollande et les participants à l’initiative de la France pour la paix au Proche-Orient, le 3 juin 2016 à Paris.
François Hollande et les participants à l’initiative de la France pour la paix au Proche-Orient, le 3 juin 2016 à Paris. KAMIL ZIHNIOGLU / AFP

La photo de famille à l’ouverture des travaux réunissait côte à côte, autour de François Hollande, aussi bien Ban ki-Moon, le secrétaire général des Nations unies, que le secrétaire d’Etat américain John Kerry, la chef de la diplomatie européenne Federica Mogherini et nombre de ministres des affaires étrangères. Mais le plus difficile commence maintenant : concrétiser, dans une conférence internationale impliquant cette fois les deux parties, les grands principes d’un règlement du conflit israélo-palestinien réaffirmés à Paris le 3 juin. « C’est un message et il nous oblige », a souligné le ministre français des affaires étrangères, Jean-Marc Ayrault, en conclusion de la réunion de 29 pays et organisations internationales censée relancer un processus au point mort.

Source : En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2016/06/03/a-la-conference-de-paris-fragiles-espoirs-de-relance-du-processus-de-paix-israelo-palestinien_4933702_3218.html#v2rO6v5JSpclVECk.99